This historic book may have numerous typos and missing text. Purchasers can usually download a free scanned copy of the original book (without typos) from the publisher. Not indexed. Ikke illustreret. 1877 edition. Uddrag: ...registre des archives de Saint-Omer, n 216, art. 40, et appendice VII-IX. Cf. Arch. nat., Xia 34, f-293. 5. Registre aux bans, n 776. 6. Deschamps de Pas. Ouv. cit., p. 285. 7. Ibid., p. 286. 8. Ibid., p. 287. 9. Ibid., p. 354. En general, les marchands payaient leur place le dimanche pour la semaine, mais devaient donner gages pour toute l'annee. Les echevins fixaient le tarif de location des etaux qui leur appartenaient et faisaient faire les perceptions par des fonctionnaires speciaux2. Faute de paiement, les marchands etaient bannis an et jour et s'ils rentraient avant l'expiration de leur temps, mis au pilori. Les machecliers payaient leurs etaux entre quatorze et seize deniers par semaine, selon la position qu'ils occupaient. Chaque marchand n'avait pas le droit d'occuper autant de place qu'il le voulait; ainsi, un reglement stipule que celui qui n'a a exposer en vente que quatre pieces de draps n'a droit qu'a un etal3. La police des halles etait faite par des gardiens mmes par l'echevinage4. % IV. On se rappelle que la mention d'un marche a Saint-Omer remonte a la fin du ixe siecle. En 874, Charles-le-Chauve confirmait la possession de ses produits a l'abbaye de SaintBertin5. Pendant le moyen age, c'etait le mercredi et le samedi que se tenaient les marches de Saint-Omer; le marche du mercredi parait avoir ete le plus important. Il s'y faisait surtout un commerce de denrees, de bestiaux, de cereales, et un commerce au detail des produits de l'industrie de la ville. Ces jours-la, les places et les principales rues s'encombraient de bancs, de haions, ...